Lucille Poirier : le bénévolat a toujours fait partie de sa vie
C’est à l’âge de douze ans que Lucille Poirier a commencé à faire du bénévolat. Les membres de sa famille étant engagés dans plusieurs milieux, cela allait de soi. Elle a donc appris ce « métier » très jeune, métier qui est très vite devenu une véritable vocation!
À ces débuts, Lucille s’est impliquée auprès de sa paroisse, la paroisse Saint-Pierre-Baptise, en prenant part notamment aux célèbres « parties de sucre » printanières. Cela n’était qu’un avant-goût de ce que l’avenir lui réservait… Lire le reste de cet article »
En plus d’être une grand-maman dévouée, Yolande est très active au niveau municipal et régional. Elle s’implique dans les conseils d’établissements, donne de la formation à l’AFEAS, siège sur le conseil d’administration du CLSC Nicolet-Yamaska, bref sa carrière et sa famille ne l’empêche pas de s’impliquer. En 2001, Yolande prend sa retraite du monde de l’enseignement et se « refait » une carrière de bénévole. Elle donne de son temps, de ses idées, de son expertise, et ce, sans compter. 
Réjean Drouin est un centricois bien impliqué au sein de sa communauté. Par sa rigueur, son expérience et sa générosité de partage, il siège sur plusieurs conseils d’administration, ainsi que plusieurs comités, et y apporte sa touche personnelle ce qui fait la différence au sein du groupe.
Tout en poursuivant une carrière bénévole, selon les étapes de la vie familiale ( comités d’école, de sauvegarde de la piscine municipale, etc.), j’étais professeure en soins infirmiers au niveau collégial. Je suis maintenant retraitée du milieu de la protection de la personne (Curatrice déléguée au Curateur public).
« Je suis la huitième d’une famille de douze enfants. Je fais partie de la génération juste avant celle des baby-boomers. Comme dans la chanson de Claude Léveillé : « Pour nous c’était le samedi, ça riait, discutait, pendant que maman nous servait.» J’ai appris très jeune à discuter, argumenter, discerner le pour et le contre de l’actualité et des événements de la vie. Je suis du « genre lucide ». C’est utile, mais ça peut être parfois dérangeant pour les autres.
Aînée d’une famille de 3 enfants, Louise est née à Thetford Mines. De par le travail de son père pour Hydro Québec, elle a connu plusieurs déménagements (transferts obligent). Elle a vécu les 10 premières années à St-Agapit, pour ensuite déménager à Shawinigan pendant 2 ans et demi et compléter ses études secondaires à Joliette. C’est à Trois-Rivières qu’elle terminera sa formation en tant que technicienne en documentation en 1972. On peut donc comprendre, de par ses origines, que Louise aime ça quand ça bouge! C’est à Joliette qu’elle rencontra son mari Yvon Proulx. Ils se marièrent le 29 juin 1974. 
Née en 1933, c’est Gentilly qui m’a vu naître, grandir et faire mes premières expériences dans l’enseignement. C’est Nicolet, où j’ai épousé Léo-Paul Smith, qui me verra agir.
Les circonstances de la vie m’ont amenée à m’impliquer depuis plus de 30 ans dans différents domaines. J’ai probablement donné beaucoup, mais je crois avoir reçu encore plus. Je n’ai pas été à l’université, mais si je compare le bénévolat à l’université de la vie et c’est à cette institution que j’ai été.
S’impliquer, c’est un verbe d’action qui nous concerne tous et qui nous amène à nous tourner vers l’autre. On s’investit pour soi, pour notre valorisation personnelle, pour être en interaction avec les autres et pour rendre service. Oui, l’humain est un être de relation qui a besoin de se retrouver avec d’autres personnes pour simplement être, pour vivre et se sentir utile.
